30/03/2013
Bouleau, arbre du renouveau
Betula pubescent (Betulacées)
Bedoll pubescent (cat), Downy birch (en), Moor-birke (de), Abedul pubescente (es), Bjørk (norvégien)
Au coeur des boulais (ou futaies de bouleaux), vous rencontrerez principalement 3 espèces communes de bouleau, que sont le bouleau pubescent (betula pubescent), le bouleau verruqueux (betula pendula) et le bouleau nain (betula nana). Pour une ballade dans quelques magnifiques boulaies...
Arbre symbole des territoires nordiques, le bouleau est (a été) utilisé pour toutes sortes d’usage : En Russie, son écorce, tressée en lanières servait à la fabrication de chaussures appelées lapti, et également de support d’écriture. En Europe du Nord, son bois était apprécié des boulangers, car il se consume rapidement, avec une flamme légère, laissant peu de cendres. En menuiserie, le bois de bouleau jaune ( ) est utilisé sous le nom de merisier.
En cuisine sauvage,« la seconde écorce est comestible, fraîche ou séchée, crue ou cuite. En Pologne, en Suède et en Finlande, elle était séchée, puis réduite en farine. En Sibérie, on la consommait mélangée à des oeufs d’esturgeon. En Scandinavie, on faisait parfois du pain avec de la sciure de bouleau bouillie, séchée au four, pulvérisée et mélangée à de la farine « (extrait – le régal végétal – François Couplan – éditions Sang de la Terre). En Suède, il est possible de se procurer un délicieux vin mousseux, réalisé à partir de sève de bouleau, selon une recette inspirée par un chimiste suèdois du XVIIIème siècle, Gunnar Jegrelius.
En herboristerie, les bourgeons (ou l’écorce sèche) sont utilisées en décoction et les feuilles en infusion comme dépuratif. La sève, les feuilles et l’écorce ont des vertus diurétiques et sont également utilisées dans le traitement d’affections cutanées.
En France, il est possible de participer à la récolte (et à la dégustation de la sève de bouleau).
Comme par exemple, avec Hélène, à Proisy (02) dans le Nord Est de la France.
Sortie à la découverte du bouleau et de la sève.
Photo/ FloraTrek 2012
08:00 Publié dans PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
27/03/2013
Ron Fricke
06:15 Publié dans Art, Permaculture, PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Rencontre avec Pierre Rabhi
Pionnier de l’agro-écologie en France, Pierre Rabhi est un amoureux de la Terre nourricière, engagé depuis quarante ans au service de l’Homme et de la Nature. Référent de nombreux mouvements écologistes, il est également l’un des inspirateurs de ce modeste blog, avec le regretté Michel Valentin, rencontré à la ferme des Amanins en Juillet 2010.
Pierre Rabhi appelle aujourd’hui à l’éveil des consciences pour construire un nouveau modèle de société où « une sobriété heureuse » se substituerait à la surconsommation et au mal-être des civilisations contemporaines.
Un discours, que reprend d’ailleurs Jean-Claude Michéa dans son dernier livre « les mystères de la gauche » :
« ...il est clair que les critiques les plus lucides et les plus radicales de cette nouvelle civilisation sont à chercher du côté des partisans de la «décroissance». En entendant par là, naturellement, non pas une «croissance négative» ou une austérité généralisée (comme voudraient le faire croire, par exemple, Laurence Parisot ou Najat Vallaud-Belkacem), mais la nécessaire remise en question d'un mode de vie quotidien aliénant, fondé - disait Marx - sur l'unique nécessité de «produire pour produire et d'accumuler pour accumuler».
La bande-annonce
06:00 Publié dans Permaculture, RenconTres | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
23/03/2013
Araucaria, au coeur des Andes
Araucaria araucana (Araucariacées)
Pehuen (es), Andentanne (de), Monkey puzzle tree (en),
Originaire des Andes, et en particulier de la région d’Araucania au Chili, ce conifère porte le nom étrange de « désespoir des singes » depuis qu’un importateur anglais du 19ème siècle imagina que les singes ne pourraient pas y monter du fait que les feuilles de cette espèce sont très rigides et pointues !
Menacé à l’état sauvage, facile d’entretien, et résistant au froid (jusqu’à -20°c), j’ai pu en admirer de nombreux spécimens, plantés dans des jardins de particuliers, lors de mon récent séjour en Normandie (Manche).
En dermatologie, ses graines sont employées sous forme de crèmes pour protéger l’épiderme du stress cellulaire et du vieillissement cutanée.
En cuisine sauvage, ses graines comestibles sont consommées traditionnellement, fraîches ou grillées, comme des pignons, par les indiens « Mapuche-Pewenche ».
Les graines sont également utilisées en farine pour la confection de pain ou de boissons fermentées.
Je vous laisse découvrir la technique originale (mais efficace) des indiens Mapuche (ou peuple de l'Arbre Araucaria) pour récolter les graines d'Araucaria.
Photo/ FloraTrek 2013 et Larces
06:57 Publié dans PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
22/03/2013
Don José Carmen, l'homme qui parle aux plantes...
20:35 Publié dans Permaculture, RenconTres | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
20/03/2013
Pissenlit, cet inconnu
Taraxacum officinale (astéracées)
chopine, cochet, couronne de moine, dentdelion, florin d'or, florion d'or, horloge du berger, laitue de chien, pichaulit, pissenlit, pissenlit officinal, pissenlit vulgaire, pisse au lit, salade de taupe, tête de moine, tête de moineau, diente de león (es), dentedeleão (pt), löwenzahn (de), taraxacum (cat), dandelion (en)
Le printemps est là, et comme chaque année, rien ne vaut une cure de détox à base de racines de pissenlit, pour bien profiter du retour des beaux jours.
Ce week-end, j’ai profité d’un dimanche clément pour en cueillir un grand seau dans mon jardin ; le sol était tellement détrempé que je pouvais retirer quasiment à la main rosette et racines (pivotantes, qui peuvent s’enfoncer jusqu’à 2 m de profondeur).
En médecine populaire, les vertus du pissenlit sont réputées nombreuses (d’où son appellation « officinale »):
- Il aide à digérer (qualité stomachique)
- Il permet l’élimination des toxines (qualité cholagogue)
- Il diminue le cholestérol (qualité cholestérique)
- Il facilite l’élimination rénale (qualité diurétique)
- Il permet de guérir certaines dermatoses (verrues...)
En cuisine sauvage, il existe milles façons de le déguster.
- Les feuilles se mangent crues en salades (de préférence les rosettes) ou cuites, comme des épinards.
- Les racines grillées et écrasées peuvent être un bon substitut au café.
- Les boutons floraux peuvent être consommées comme des câpres, ou savourés en gelée (la fameuse cramaillotte).
Considérée comme une plante invasive, nuisible par les jardiniers, elle commence à être redécouverte par les phytothérapeutes, et les cuisiniers. Je l’ai d’ailleurs trouvé sur mon marché local à 12€ le kg.
Insolite : Sa tige contient un latex, jadis utilisée dans la fabrication du caoutchouc.
Recette : Velouté de pissenlit à la moutarde de Meaux
Film: Neil Bromhall
Photo : FloraTrek / mars 2013
06:00 Publié dans CuiSine, PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sannois | | del.icio.us | | Digg | Facebook
15/03/2013
Ficaire, l'amie du marin
Ranunculus ficaria (Renonculacées)
Fausse renoncule, Herbe aux hémorroïdes, Gatassa (cat),Lesser celandine (en), Celidonia minor (es),
Ses racines en forme de petites figues sont à l’origine de son nom latin « ficus » (figue). Elles renferment un puissant calmant, dont la sève se récolte en Décembre, et à l'origine de son nom d'Herbe aux hémorroîdes !
Des petits bulbes aériens (ou bulbilles) logés à l’aisselle de ses feuilles se détachent arrosées par la pluie et permettent ainsi à la Ficaire de se disséminer.
En phytothérapie, ces feuilles étaient jadis consommées pour lutter contre le scorbut. Cette maladie terrible ravageait les rangs des marins au long cours, en carence de vitamine C.
De nombreux poètes ou écrivains anglais furent inspirés par ces lumineuses petites fleurs jaunes, tapissant les sous-bois, comme Edward Thomas, C.S. Lewis, J.R.R Tolkien, D.H. Lawrence ou encore William Wordsworth, qui leur dédia ce court poème :
I have seen thee, high and low,
Thirty years or more, and yet
T'was a face I did not know.
19:01 Publié dans PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
10/03/2013
Ombilic, le nombril de Vénus
Umbilicus rupestris (Crassulacées)
Nombril-de-Vénus, Ombilic des rochers, Avelwort, Penny-pies, Wall Pennywort (en), Ombligo de Venus (es), Chapéus-de-parede (pt), Orella de monjo (cat)
Le « nombril de Vénus » doit son nom, non seulement aux caractéristiques de ses feuilles arrondies et peltées possédant une dépression en forme de nombril au centre du limbe, mais également à la réputation de philtre d’amour qu’il avait au Moyen-âge.
Roches arides et talus ombragés accueillent ses stations fournies, plutôt en Europe du Sud et de l’Ouest.
En médecine traditionnelle, l’ombilic était un remède prisé contre l’épilepsie. Ses feuilles succulentes (c’est à dire charnues, résistantes sur milieu aride), peuvent apaiser les brûlures Il est connu des homéopathes sous l’appelation « Cotyledon umbilicus ».
En cuisine sauvage, ses feuilles sont comestibles, et leurs saveurs acidulées rappellent celles de la roquette sauvage (diplotaxis erucoides) (même si le goût est différent). Les inflorescences amers ne se cuisinent pas.
Cette semaine, j’ai pu cueillir les premières rosettes de cette plante discrète, sur les haies Normandes (du côté de Brecey dans la Manche). Je vous livre ici la recette d'une salade printanière, cuisinée avec la complicité d’une amie cuisinière dont je vous recommande le gîte : la ferme de la motte.
Recette: Salade printanière d'Ombilic
photo/ FloraTrek 2013
15:12 Publié dans CuiSine, PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cuisine, nature, biodiversité, plantes, botanique | | del.icio.us | | Digg | Facebook
02/03/2013
Geir Toennessen
Un artiste à découvrir avec ArtJump
08:00 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
01/03/2013
Jardin botanique de Vauville (50)
05:52 Publié dans JarDins | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jardins | | del.icio.us | | Digg | Facebook
15/02/2013
Arbre de Judée, arbre de l'amour
Cercis siliquastrum (Fabacées)
Gainier, Koutsoupia (gr), Judas tree (en), Arbre de l’amor (cat), Arbol del amor (es), Erguvan (tr), Olaia (pt)
L’arbre de Judée se remarque immédiatement par la splendeur de sa magnifique floraison rose. Début Mars, l’arbre se couvre d’abondantes grappes fleuries, avant que les premières feuilles n’apparaissent.
Selon la légende, c'est à cet arbre que Judas se serait pendu après avoir trahi Jésus Christ. D’après la légende, les fleurs blanches se seraient couvertes de sang, après la tragédie.Dans les pays latins, il est plutôt fait référence à l'amour, en référence sans doute aux montées de sève printanière !
La couleur pourpre de ses fleurs, si difficile à reproduire, était réservée aux costumes des empereurs byzantins. C’est ainsi que cet arbre est aujourd’hui symbole de la ville d’Istanbul. 2012 fut d'ailleurs l'année des arbres de Judée, et Istanbul a ainsi bénéficié d'un programme de plantation de plus de 100 000 jeunes plants. Une raison de plus pour visiter cette ville magnifique au printemps.
En cuisine sauvage, les fleurs et boutons ont une agréable saveur acidulée et s’ajoutent crus aux salades. Il est également possible de les déguster en beignets, à la mode turque !
photo/ Maria Sander Nilsson
13:13 Publié dans CuiSine, PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
02/02/2013
Oliver Latta
08:00 Publié dans Art, RenconTres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art, nature, musique, piano, design | | del.icio.us | | Digg | Facebook
28/01/2013
Californie sauvage
Meet Me in Big Sur from Andrew Julian on Vimeo.
10:19 Publié dans Art, FloraTrek | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
17/01/2013
Katka Pruskova
05:26 Publié dans Art, PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
02/01/2013
Grandes serres, grandes déceptions...
C’est en 1635, sous le règne de Louis XIII, un édit royal crée le Jardin royal des plantes médicinales. Le Museum National d’Histoire Naturelle est de fait l'un des plus anciens établissements scientifiques de France.
Tout d’abord bâtiment public destiné à protéger les plantes les plus fragiles des gelées parisiennes, les grandes serres du jardin des plantes évoluèrent au début du 18ème siècle dans leurs dimensions actuelles. Après de longues années de travaux, les grandes serres ont rouvert au public en 2010.
Alléché par ces nouvelles serres rénovées, si bien vantées sur le site Internet dédié, j’ai décidé de profiter des congés de noël pour les explorer. Ma déception fut à la hauteur de mes espérances !
La visite commençait plutôt bien avec la magnifique serre des forêts tropicales humides, agrémenté d’intéressants (mais trop rares) dispositifs multimédia.
Grand couloir aménagé en façade sud de la serre tropicale, la serre des déserts et milieux arides déçoit.
La déception continue avec la serre de Nouvelle Calédonie, qui nous alléchait avec une promesse de mise en scène de cinq milieux. En fait de mangrove, vous découvrez une grande flaque dans un coin de la serre (de la taille de 2 mains écartés). La savane, le maquis minier...de vastes plaisanteries. La présentation multimédia arrive à sauver les meubles...mais elle se situe dans un espace si exigu qu’elle décourage même le plus fervent des ethnobotanistes.
Clou du spectacle (si j’ose dire) : une scénographie de l'histoire des plantes, dont on a peine à croire qu'elle date du 21ème siècle ! Une pièce à sauver: le tronc fossilisé et silicifié d'un araucariacées; pièce spectaculaire, mais mal mise en valeur, comme le reste de l'exposition...
Rajoutez à cela, des allées trop étroites, dès qu’une dizaine de personnes se trouvent dans les serres, un personnel sous-formé, des toilettes inexistantes... et mon conseil sera de garder les 6€ d’entrée et de vous rendre dans les serres (gratuites) du parc André Citroën, ou d’économiser pour une visite vraiment exceptionnelle des serres du Kew Royal Botanic gardens, à Londres.
L'album complet de mon exploration parisienne...
12:00 Publié dans JarDins, Permaculture | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
01/01/2013
Une nouvelle année
00:00 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
30/12/2012
Manuka, le secret des Māoris
Leptospermum scoparium
Südseemyrte (de), broom tea-tree (en)
Plante endémique de Nouvelle Zélande, cet arbrisseau de la famille des Myrtacées se rencontre également à l’état sauvage dans les forêts humides (rainforests) d’Australie et de Tasmanie. S’élevant jusqu’à3 mètres, le “Tea-tree” peut se reconnaître au parfum de ses petites fleurs blanches odorantes et à ses feuilles persistantes à l’écorce écaillée.
En médecine naturelle, les māori utilisaient l’huile essentielle de Manuka pour ses propriétés antiseptiques, antifongiques et décongestionnantes. Producteur comme tous les miels de peroxyde d’hydrogène, le miel de Manuka possède un principe actif unique, le Methylglyoxal. En plus de ses qualités antibactériennes, le miel de Manuka possède d'autres propriétés : il diminue les œdèmes, augmente la circulation sanguine et accélère la cicatrisation.
En cuisine australe, son miel se décline en alternative de toutes les recettes courantes à base de miel (comme par ex. : ce délicieux cheesecake aux framboises).
Plus original (et également plus difficile à réaliser) : des mullets fumés au bois de Manuka.
Photo/ Avenue
07:00 Publié dans CuiSine, PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
28/12/2012
Fiordland National Park
Fiordland National Park
Photo/ Kasper Moreaux
07:00 Publié dans Art, FloraTrek | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
26/12/2012
Le Kiwi, made in China
Actinidia chinensis (Actinidiacées)
Groseille de Chine (fr), Yang Tao (ch), Minhoutao (ch), Pêche du Yang (fr), Chinese gooseberry (en), Kiwifruit (en), Macaque peach (ch), Kiwi (de),
Le Kiwi est une vraie saga de personnages et de plantes, comme je les aime.
D'origine chinoise, comme indiqué par sa dénomination binomiale, le Yang Tao fut d'abord introduit en Europe comme fleur ornemental, par un père jésuite du XVIIIème siècle, Pierre Noël Chérons d’Incarville.
Mary Isabel Fraser, la principale d’un collège néozélandais, l’introduisit pour la première fois en Nouvelle Zélande, au début du 20ème siècle. Hayward Wright, pépiniériste à Auckland, sera le premier à obtenir le specimen “large oval” qui sera commercialisé à la fin des années 30.
En pleine guerre froide, pour continuer à distribuer aux Etats Unis leur groseille de Chine, les producteurs Néo Zélandais la rebaptisèrent Kiwi, en référence à l’oiseau emblème de la Nouvelle Zélande. Aujourd’hui, c’est l’Italie qui réalise plus du tiers de la production mondiale de Kiwi.
Médicament “contre les fièvres”, les fruits de cette liane dioïque contiennent plus de vitamine C que l’orange, et plus de potassium que la banane. Il fait partie des fruits à l’activité antioxydante la plus élevée.
En cuisine, il est préférable d’acheter les kiwis un peu murs. Puis pour les faire mûrir doucement, les mettre dans une corbeille avec des pommes. Le dégagement d'éthylène dû à la maturation des pommes fait mûrir le kiwi. Attention à l’Actinidin contenu dans le Kiwi. Cet enzyme digère rapidement les protéines du lait, et ne fait donc pas bon ménage avec les desserts à base de crème (comme le Pavlova australien…).
Photo/ Sunny Ripert / Jim Jenkins
07:00 Publié dans CuiSine, PlanTes | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
25/12/2012
Bouquets nordiques
20:05 Publié dans Art, Permaculture | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook